« Milena » est une histoire basée sur des faits réels, vécus par un ami Facebook.
Il m’avait envoyé un résumé que j’ai enrichi de plusieurs éléments « à la sauce d’Auxane d’Aumale »
Je suis Milena, une jeune femme de 26 ans, originaire de Podgorica, la capitale du Monténégro.
On me dit plutôt jolie. C’est sans doute vrai, à voir le nombre de personnes qui me regardent avec insistance lorsque je les croise ou quand je me trouve à leur proximité.
Est-ce ma façon d’être, ou peut-être une sorte de sympathie qui se dégage de moi, mais après m’avoir fixée intensément, ils m’adressent le plus souvent la parole, et engagent la conversation.
Aussi bien les hommes que les femmes.
Chacun à sa façon me dit combien je suis agréable à regarder, avec ma longue chevelure auburn qui encadre mon visage rond et naturel, mes beaux grands yeux un peu candides et ma jolie bouche gourmande mais sans excès.
Mon corps est bien proportionné. Un savant mélange de tonicité sportive et de courbes féminines.
Je prends soin de moi, je m’habille de façon élégante, dans la limite de mes moyens financiers et sans fioriture excessive.
J’aurais pu vivre une vie normale comme toutes les filles de mon âge.
Pourtant, ces huit dernières années, ma vie n’a rien eu d’un long fleuve tranquille.
Voici mon histoire.
Je nais un 14 février, jour de la Saint Valentin, symbole de tout l’amour que me portent mes parents. Ils forment un couple uni et harmonieux, courageux et travailleur.
J’ai une enfance teintée de bonheur, et puisque je suis fille unique, je profite pleinement de toute l’attention de mes parents.
Petite fille, je suis plutôt calme, timide et introvertie.
A la puberté, sans trop me poser de questions sur ce qui m’arrive, je me découvre érotomane. Mon ventre est parcouru de dizaines de papillons en permanence, avec une envie continue et irrésistible de me caresser, de me masturber. Tout et n’importe quoi est prétexte à me donner de voluptueuses sensations.
Au début, j’utilise mes doigts pour me faire du bien. Après des caresses superficielles et légères, mon besoin de bien-être en demande plus, et ma main se concentre sur des sollicitations diverses et rapides de mon clitoris. Inévitablement, ces massages ciblés m’amènent à mon premier orgasme profond. Toujours en recherche de plus de sensations, et sans pour autant délaisser mon clitoris, mes doigts s’orientent vers la pénétration de mon sexe, d’abord superficielle, puis de plus en plus profonde.
Dans sa grande bonté, mon corps m’offre dans la foulée de nouveaux jouets pour mes plaisirs : le développement de ma poitrine me fait comprendre que mes tétons sensibles sont aussi érogènes. Pour jouir pleinement de tous mes « jouets », je trouve le moyen d’exciter mes tétons tout en libérant mes mains pour vaquer plus bas sur mon corps : je me caresse les tétons en début de « séance », et dès qu’ils sont à point, j’accroche dessus deux fines épingles à cheveux de ma mère. Ces épingles, loin de me massacrer les tétons, maintiennent une tension légère mais permanente, qui les laissent érigés et presque obscènes.
Curieusement, mes pensées ne produisent pas le moindre fantasme. Mes plaisirs, mes jouissances et mes orgasmes sont uniquement provoqués par les caresses physiques dont je gratifie mon corps.
Ensuite, j’essaie des objets divers, allant du classique manche de brosse à cheveux, en passant par la poignée d’une corde à sauter, mais aussi des outils de mon bricoleur de père : manche de marteau, de tournevis, tuyaux souples de diamètres divers, et même un pied de table basse en bois tourné.
Cet accessoire est à l’origine d’une très forte émotion. Dans le calme somnolent d’une nuit, dans mon lit, je suis occupée à me pénétrer avec ce bout de bois ambitieux tant dans sa longueur que dans son diamètre. Heureusement, l’extrémité arrondie m’évite de me blesser. Est-ce l’excitation qui me donne l’impression que le barreau de bois s’enfonce plus profondément dans mon ventre, ou est-ce moi qui le pousse plus loin ? En complément, ma main sollicite mon clitoris. Et comme toujours, l’orgasme vient. J’ai tout juste le temps d’enfourner un coin d’oreiller en bouche pour y crier toute l’intensité de mon orgasme sans ameuter mes parents. En récupérant de cette vague déferlante dans l’obscurité de la nuit, je sens que mon entrejambe est plus humidifié que d’ordinaire. Intriguée, j’allume ma lampe de chevet, et je soulève mon drap pour constater avec effroi des tâches de sang qui parsèment mon drap de dessous. Je comprendrai plus tard que j’ai perdu ma virginité en faisant l’amour avec un pied de table. Le lendemain matin, je change rapidement et discrètement ma literie afin de ne pas alarmer mes parents sur les événements étranges et quotidiens qui surviennent sous mes couvertures. Finalement plus de peur que de mal : après une abstinence inquiète de deux jours, je peux reprendre de plus belle mes plaisirs solitaires.
Pendant toute ma jeunesse, je n’ai qu’une seule amie : Sonja, avec qui je partage mon banc de classe pendant toute ma scolarité.
Sonja m’accompagne régulièrement à la maison après les cours, et nous faisons ensemble nos devoirs et leçons. Je dois gérer la présence de Sonja en fonction de mes envies sexuelles qui se rappellent régulièrement à moi. Je trouve n’importe quel prétexte pour m’absenter et m’enfermer aux toilettes ou à la salle de bains et me caresser en me pénétrant avec l’un ou l’autre objet.
Les années passent, et les habitudes demeurent.
En Terminale, en fin d’année scolaire, Sonja vient tous les jours à la maison et ensemble nous révisons nos cours en vue de l’épreuve du Bac.
C’est à cette occasion que mon monde va basculer en une seconde. Pendant notre week-end de révision finale, mes parents décident de partir pour la journée à la mer afin de nous laisser étudier dans un calme optimal.
Sonja et moi relisons une dernière fois tous nos cours, en nous posant mutuellement des questions chaque fois qu’un doute ou une incompréhension se manifeste.
En fin d’après-midi, vers 17h30, la sonnette de la porte d’entrée retentit dans la maison. Intriguée par cette visite imprévue je descends les escaliers quatre à quatre, j’ouvre la porte d’entrée, et je me retrouve face à un homme gigantesque, baraqué et en uniforme. Fort impressionnée et un peu apeurée par cette montagne de muscles qui pourrait pulvériser mon petit corps d’un simple souffle, l’immense policier me demande :
— Milena Kruscic ?
— …Oui….
— Vous êtes Milena Kruscic, fille de Viktor et Aleksandra Kruscic ?
— …Oui…
— Il va falloir être courageuse mon petit…
— Quoi ? Comment ?
— Vos parents ont eu un accident ce midi…
— Mon Dieu….Et comment vont-ils ? Bien, j’espère ?
— J’ai bien peur qu’il n’y ait plus d’espoir…Ils sont décédés…Je suis désolé !
Je reste interdite. Transformée en statue de marbre. Mon sang descend au bout de mes orteils. L’image du policier vacille. Je crie de toutes mes forces. Je tombe à terre, en hurlant, en sanglotant. En reprenant ma respiration entre deux cris, j’ai encore l’infime espoir que je vais me réveiller, que je fais un mauvais rêve, mais non…
La montagne de muscles s’accroupit pour me prendre la main, dans un élan modéré de générosité. C’est à peine si j’entends du bruit dans l’escalier. Sonja accourt, effrayée par les cris inhumains qu’elle vient d’entendre. Je suis à terre hébétée. J’entends vaguement Sonja échanger quelques mots avec le policier pour s’informer de ce qui se passe. Pour moi, c’est la confirmation de la réalité que je n’ai pas voulu comprendre. Sonja me serre dans ses bras. Je suis inanimée. Je n’existe plus. Une vraie poupée de chiffon. Les larmes coulent à flots. Mon regard se brouille.
Tout mon petit monde bascule aujourd’hui.
Pendant les jours et les semaines qui suivent, Sonja me soutient et me réconforte. Du mieux qu’elle le peut. Elle veille à me faire manger, dormir, parler pour essayer de me faire supporter l’immense souffrance que j’éprouve. Elle va jusqu’à organiser seule les obsèques, la paperasse, tous ces aspects qui viennent s’ajouter à la peine éprouvée et semblent insurmontables.
A force de patience et de réconfort, elle me ramène petit à petit sur le chemin de la vie qui me semble si insipide aujourd’hui.
Pendant ces semaines, ni l’idée ni l’envie de me caresser ne me viennent.
Sonja et moi, nous discutons un peu, de temps en temps, et l’évidence s’impose : puisque je suis seule maintenant dans la maison familiale, elle va s’y installer avec moi. Je resterai dans ma chambre, et elle dormira sur le sofa dans le living. Je lui propose de prendre la chambre de mes parents, mais cette seule idée me fait à nouveau ruisseler de larmes.
Elle est très douce avec moi. Prévenante. Parfois un peu plus ferme, dans le seul but de me faire réagir et reprendre courage.
Je fais régulièrement des cauchemars la nuit. Pour éviter ça, nous décidons de dormir ensemble dorénavant.
Lors d’une nuit difficile où la mélancolie prend à nouveau le dessus et m’empêche de dormir, elle me prend dans ses bras et me donne plein de bisous tous doux.
Et de fil en aiguille, cette nuit-là, elle me caresse la joue, puis les bras, puis la taille, puis mes seins, puis mon ventre, puis mon sexe, et au bout du compte, elle me fait jouir.
Voyant que cela provoque en moi une sorte d’électrochoc au cours duquel elle retrouve brièvement la Milena qu’elle connaissait auparavant, elle persiste dans cette direction, et ne passe pas une soirée sans m’apaiser grâce à ses initiatives sexuelles.
Progressivement, notre relation évolue vers de l’amour. Sonja et moi pourrions être perçues comme un couple de lesbiennes. Mais je m’en fous. Je m’accroche à elle et à son amour généreux. De toute façon, je n’ai rien d’autre dans ma vie.
Nous formons un couple harmonieux, elle me donne l’amour que j’ai perdu quand mes parents ont disparu.
Les mois passent, et à force de caresses et de joutes sexuelles, nous nous découvrons un fort penchant commun pour le sexe.
Nous assumons, nous nous faisons à présent plaisir mutuellement, et dans la foulée, nous commençons une collection de jouets sexuels que nous nous amusons à sélectionner ensemble et à commander sur internet.
Surtout des godemichets.
De toutes tailles et de tous types.
Nos ébats sexuels sont prétextes à les essayer mutuellement. A l’infini.
Et lorsque l’envie d’autre chose nous vient, on se dirige vers le frigo pour en revenir avec des légumes, des glaçons ou de la crème fraîche en bombe pour varier nos plaisirs sexuels.
Un jour, Sonja, encore plus inspirée que les autres jours, me déshabille complètement dans le living, et m’emmène dans la cuisine. Là elle me fait m’allonger toute nue sur la table de la cuisine, ouvre le frigo, y furète et revient vers moi, avec deux carottes de belles dimensions. Elle m’embrasse d’abord amoureusement, puis elle enfonce une carotte dans ma bouche et m’ordonne un peu sèchement de la sucer. Sans chercher à comprendre, je fais ce qu’elle me demande. Après quelques instants, elle retire la carotte de ma bouche, et après m’avoir écarté les cuisses, elle la présente à l’entrée de mon sexe, et l’y enfonce de façon autoritaire, presque violente. A la fois saisie et sensitive à cette pénétration imposée, j’ouvre la bouche pour pousser un gros gémissement. Sonja en profite pour introduire la deuxième carotte dans ma bouche, et me dit de la sucer comme la première. De sa main libre, elle agite la carotte qui pénètre mon sexe. La raideur du légume combinée à ses mouvements dans mon cocon d’amour y déclenche immédiatement des flots de cyprine. Lorsqu’elle pense que j’ai suffisamment humecté la deuxième carotte, elle la retire da ma bouche, et l’enfonce dans la sienne en poussant un « Mmmmmmh ! » lascif. Puis elle la retire de sa bouche, la présente entre mes petites fesses et empale mon petit orifice aussi autoritairement que la première. Déjà un peu aguerrie au délice anal, je pousse un grand gémissement de plaisir. Sonja manœuvre les deux carottes dans mon ventre et me fait rapidement haleter de plaisir. Puis elle m’oblige à agiter moi-même les deux godes improvisés. Trouvant le tableau sans doute incomplet, elle retourne au frigo, et en revient armée d’un concombre impressionnant qui me fait un peu peur. Mais mes mains continuent de mouvoir les carottes en moi, et me font progresser sur la route d’un bel orgasme annoncé. Elle prend dans un tiroir de cuisine un couteau et coupe le concombre en deux, le réduisant ainsi à la moitié de sa longueur. Elle vient vers moi avec ce demi-concombre. Je panique un peu, mais elle me fait ouvrir la bouche et y introduit la partie fraichement coupée du concombre. Je me retrouve donc farcie avec deux carottes, et la bouche fourrée avec ce gros concombre, qui en dépasse de plus de 20 centimètres. Sonja me dit de ne pas bouger et retourne au frigo pour en revenir avec une bombe de crème fraîche.
Elle en retire le capuchon, et commence à étaler de la crème fraîche sur toute la longueur du concombre qui dépasse de ma bouche. Ensuite elle repose la bombe, et toujours interdite d’autre mouvement que celui de mes mains remuant les carottes, je crois voir du coin de l’œil qu’elle se déshabille complètement. Elle s’approche de ma tête et monte sur la table où je gis immobile. Elle positionne ses pieds de part et d’autre de mon visage et s’accroupit, plaçant son sexe effectivement nu au sommet du concombre-crème fraîche, puis le fait descendre pour s’y empaler. Elle pousse un cri guttural lorsque ses lèvres sexuelles se soudent à celles de ma bouche. Puis elle monte et descend sur ce godemichet improvisé, me barbouillant au passage le visage d’un mélange de crème fraîche et de son miel dont je reconnais et apprécie la saveur. Entre temps, elle reprend le contrôle des carottes qui me pénètrent. Et à force d’agiter son sexe sur le concombre et les carottes dans mon ventre, elle déclenche nos orgasmes. Lorsque nous reprenons nos esprits, elle se débranche du concombre, le retire de ma bouche, descend de la table, et vient m’embrasser à pleine bouche, en me léchant régulièrement le visage, pour déposer entre mes lèvres ce qu’elle récupère de crème fraîche et de sa cyprine.
Le chapelet de mes orgasmes me distrait au fur et à mesure de ma détresse et me redonne goût à une vie presque normale. Certes orientée vers le sexe, mais sinon normale.
Pendant nos soirées « Télé », Sonja prend aussi un malin plaisir à m’imposer un autre de ses passe-temps favoris. Affalée nue à mes côtés, devant la télé, elle boit du Cava à même le goulot de la bouteille. Régulièrement elle relâche la pression de ses lèvres sur le goulot, répandant sur son corps le liquide à bulles qui coule sur sa poitrine, son ventre, son nombril et son sexe. Une fois bien enduite de bulles, elle attrape mes cheveux, et les tire à elle, m’obligeant à lécher tout le liquide répandu sur son corps. Elle insiste pour que j’aspire les dernières gouttes logées entre les lèvres de sa grotte d’amour. Il n’est pas rare que je rate la fin d’un film ou d’une série, agenouillée entre les cuisses de Sonja, mon visage pressé par sa main impérieuse sur son sexe pour le laper jusqu’à ce qu’elle jouisse bruyamment, tandis que je me doigte comme une forcenée.
Nos diplômes de Terminale du lycée en main, nous continuons nos études, chacune de son côté. Nous habitons toujours chez moi, dans la maison héritée de mes parents.
Je décroche un diplôme de BTS Assistante de Manager et je signe rapidement un superbe contrat de travail comme assistante de direction auprès du Gouvernement Monténégrin. Rien de moins !
Sonja se tâte dans l’artistique, sans grand succès.
Elle s’entoure d’une bande de copains et copines « underground » un peu bizarres, que je ne tarde pas à considérer comme des losers éternels.
Je ne m’en rends pas vraiment compte mais nos vies professionnelles et nos relations différentes creusent un sillon entre nous deux.
Petit à petit, ça va déraper, et le sillon va progressivement devenir un fossé.
Lors d’une soirée chez des copains de Sonja, l’alcool coule à flots et nous sommes toutes les deux un peu ivres.
En revenant des toilettes, Sonja a trouvé dans le hall le collier et la laisse du chien de la maison.
En riant à gorge déployée, elle me passe le collier de chien au cou, et passe le reste de la soirée à me tenir en laisse. Nous en rigolons comme des folles.
Je ne comprendrai que beaucoup plus tard que cette plaisanterie anodine est le premier pas vers notre égarement définitif.
Cette nuit-là, aidées un peu par l’alcool, nous faisons l’amour plusieurs fois dès le moment où nous passons la porte d’entrée de la maison. Ca commence au beau milieu de l’escalier vers notre chambre, où elle nous déshabille toutes les deux. En me tenant étroitement par le collier, Sonja m’oblige d’abord à lécher sa petite culotte, puis à lui faire un cunnilingus. Au cours de la nuit, elle jouit de nombreuses fois et plus intensément que d’habitude, me semble-t-il.
Le lendemain matin, au petit déjeuner, elle m’avoue que de m’avoir tenue en laisse toute la soirée l’avait vraiment impressionnée et profondément excitée. Elle ressentait l’étrange sensation de prendre le pouvoir sur ma personne. Au point de détremper sa petite culotte. Ce que j’ai pu constater en pleine ascension de l’escalier…
A la soirée suivante chez ses copains, pour lui faire plaisir, je mets spontanément un collier et une laisse de chien que j’ai achetés le jour-même. Ce jour-là, je discerne dans son regard un éclat que je ne lui connais pas.
Dès notre arrivée, elle pose majestueusement en me tenant en laisse, fière comme si j’étais le plus exclusif des chiens de race.
En cours de soirée, elle sort de son sac une paire de ciseaux et commence à couper grossièrement dans ma robe, enlevant des pans de tissu pour faire apparaître à la vue de tous mes seins et mes fesses. Dans la foulée, elle découpe et enlève mon soutien-gorge et mon string. Plus tard, sans aucune gêne, elle commence à ostensiblement draguer d’autres filles, en me tenant toujours en laisse.
A la fin de la soirée, nous rentrons chez nous en taxi ; moi, toujours en collier et laisse, les seins nus et les fesses à l’air. Le chauffeur de taxi n’arrête pas de me mater dans le rétroviseur.
Le lendemain, j’ai une réunion importante au bureau, et j’ai beaucoup de mal à camoufler la marque rouge laissée par le collier que Sonja avait serré très fort pendant la soirée.
A la maison, ce n’est pas vraiment mieux. Pendant qu’elle regarde la télé, affalée nue dans le sofa, Sonja ne se lasse pas de m’obliger à la lécher, à genoux entre ses cuisses écartées. Pendant qu’elle continue à regarder le film, elle me dirige distraitement la tête en tenant mes cheveux fermement agrippés dans ses mains.
Dans la chambre, le miroir sur pied qui trône face à notre grand lit est un autre prétexte à m’humilier : elle m’oblige à m’accrocher au miroir et à m’y regarder pendant qu’elle se harnache la taille d’un harnais, puis glisse dans l’anneau prévu le plus imposant de nos godemichets pour me prendre debout en levrette. Ma seule perspective est le reflet dans le miroir de mon visage, ou de ce qu’il en reste : mon expression défaite est un mélange de jouissance, de douleur et de déchéance.
La fois suivante, elle flirte avec une autre fille, me tenant toujours en laisse. Elle ramène celle-ci à la maison. Et elles font l’amour dans notre lit. Sonja m’oblige à les regarder faire, moi nue, en laisse et à genoux à côté du lit. Elle pousse le vice jusqu’à garder la laisse en main, n’hésitant pas à tirer rudement chaque fois que l’autre fille lui fait ressentir un quelconque délice. Les regarder m’excite, et je commence à me caresser. Sonja se lève, me gifle, et m’interdit de me toucher. Pour joindre le geste à la parole, elle m’attache les mains retournées dans le haut du dos avec un foulard m’encerclant aussi le cou, prenant visiblement plaisir à nouer le tout très serré, m’étranglant à moitié. J’assiste à la suite de leurs ébats sexuels sans possibilité de me caresser la moindre partie de mon corps. Dans sa grande bonté, Sonja m’oblige, toujours attachée, à lécher leurs deux sexes. Mon visage entier est couvert de leurs sucs sexuels. Je me sens profondément humiliée. Et ça commence vraiment à me déplaire.
Puis un jour, Sonja invite ses copains à la maison. Elle exige que je sois toute nue pour les recevoir. Je refuse. Elle me gifle. Elle me frappe. Puis elle relève ma robe, arrache mon string et prend une large ceinture en cuir avec laquelle elle me fouette les fesses, violemment, y laissant de grosses marques rouges.
Finalement, pour épargner mes fesses, j’accepte de recevoir nue ses invités. Bizarrement, il n’y a que des filles. Une dizaine. Le dîner se passe relativement bien, seulement émaillé par des baisers profonds échangés par Sonja avec plusieurs filles.
Je comprendrai, mais trop tard, que chacune des invitées est une amante de Sonja.
Après avoir débarrassé, Sonja m’ordonne de monter sur la table et de me placer à quatre pattes au milieu de celle-ci. Elle me bande les yeux avec un long foulard. Puis elle pousse mes épaules vers le bas. Je suis désormais en position de levrette, les fesses en l’air, encore rouges de la correction de l’après-midi.
Puis Sonja annonce qu’elle offre mon corps à toutes les invitées. Elles peuvent disposer de moi comme elles le veulent et autant de fois qu’elles le désirent. Sonja, afin de stimuler l’imagination des filles pose sur la table, à côté de mon corps désormais tremblant, la grande caisse en bois contenant tous nos jouets sexuels. Toutes les filles présentes défilent, à tour de rôle, soit assise sur la table face à mon visage, m’agrippant les cheveux pour que je leur lèche le sexe, soit à genoux derrière moi, à me travailler chacun des orifices, souvent les deux en même temps, à grands renforts de jouets divers. Certaines, après m’avoir prise en levrette avec un gode-ceinture, présentent le gode à ma bouche, exigeant que je lèche ma propre cyprine. Les filles qui attendent leurs tours me pelotent les seins ou fessent mon petit cul martyrisé.
Je n’ai aucune idée du nombre d’orgasmes que ma langue a provoqué, ni du nombre de fois que j’ai moi-même joui, soumise à ces pénétrations de mes orifices.
Je suis prise plusieurs dizaines de fois au total, avant de m’effondrer épuisée et en sanglots sur la table. Les invitées s’en vont. Pour moi, cette fois-ci, les choses ont été définitivement trop loin.
Je dois bien me rendre à l’évidence : insensiblement, Sonja m’a entraînée dans ses délires, avec comme objectif de me traiter comme son esclave sexuelle.
En huit ans, j’ai tout connu avec Sonja : de l’amour harmonieux à la plus humiliante des perversités.
Heureusement, dès le lundi suivant, pour le boulot, je dois accompagner un groupe de politiciens monténégrins à Genève pour une réunion de trois jours avec plusieurs délégations européennes. Ce break me permettra de prendre du recul par rapport à l’enfer que je vis à présent au quotidien avec Sonja.
L’avion se pose pile à l’heure prévue à l’aéroport de Genève-Cointrin. Le temps de passer la Douane, je trouve un taxi qui me conduit à l’Hôtel Mon Repos, le long du Lac Léman.
Ma chambre est sympathique, sans être le grand luxe. Quoique, tout est luxueux en comparaison de ce que je subis actuellement avec Sonja. Il y a un lit relativement grand. La décoration, dans les tons de blanc, gris anthracite et rouge, donne une atmosphère chic et classe. La touche de rouge apporte de la sensualité. En tout cas, c’est comme ça que je le ressens. La salle de bains est correcte, avec une cabine douche que je n’ai pas le temps d’essayer tout de suite, puisque je dois rejoindre la salle de réunion d’ici à 10 minutes.
Des réunions sont programmées avec des délégations française, suisse et belge. Lorsque j’arrive à la salle, une vingtaine de personnes sont assises autour de la table. Les réunions sont de longues discussions. Mais très vite, je remarque qu’un homme de la délégation belge me fixe régulièrement. Il est assis presque en face de moi. Il doit avoir au bas mot 20 ans de plus que moi. Son regard est en même temps intense et bienveillant. Nous échangeons de nombreux regards au cours des réunions pendant ces trois jours. Parfois il arbore un imperceptible sourire. C’est très étrange. Nous n’avons aucun contact pendant les pauses. J’ai beau me montrer disponible, il se contente de me regarder intensément en restant à distance.
Ce n’est qu’à la fin de ces trois jours qu’il m’aborde au moment de quitter l’hôtel pour échanger nos coordonnées. C’est là que j’ai appris qu’il s’appelle James.
Il est déjà temps de retourner chez moi. Je prends l’avion. A contrecœur.
Je suis triste et fâchée de ne pas avoir détecté plus tôt l’évolution de Sonja. D’amante douce et amoureuse elle est devenue une perverse narcissique.
Le temps du vol suffit à me confirmer que ma décision est prise. Dès que j’arrive à la maison, j’annonce à Sonja que tout est fini entre nous et qu’elle a trois jours pour faire ses valises et quitter aussi bien ma maison que ma vie.
Sonja est d’abord incrédule, puis elle semble un peu triste, mais elle se ressaisit vite, se fâche et finit par m’agripper les cheveux pour les tirer violemment et me crier au visage : « Très bien ! Tu ne veux plus de moi ? Tu veux que je quitte ta vie ? Eh bien, bon débarras, petite salope ! Je te donne deux semaines pour que tu me supplies de revenir dans ta vie ! Tu viendras me manger dans la main, et je te traiterai comme la petite traînée que tu es devenue, mais en bien pire que ces dernières semaines ! »
Moment difficile.
Sonja est partie.
Les jours suivants, pendant la journée, j’essaie de me consacrer à mon boulot, pour me changer les idées, mais sans grand succès. Et le soir, je me sens si seule dans le silence de ma maison vide.
Mon amour du sexe toujours bien présent et l’absence des ébats quotidiens avec Sonja me poussent à passer des soirées entières à regarder des films pornos sur mon pc portable, en me caressant et en me faisant jouir.
Un peu par hasard, je tombe à ce moment-là sur la carte de visite de James.
Sans trop y croire, je lui écris un e-mail, « me rappelant à son bon souvenir » et toutes sortes de formules polies et vides. Puis je clique sur « Envoyer »
Deux jours plus tard, je reçois une réponse de James.
Son texte est vraiment charmant. De toute évidence, il s’agit de quelqu’un de bien élevé, avec un bon niveau d’éducation, mais surtout d’une gentillesse bienveillante comme je n’ai jamais rencontré jusqu’ici.
Nous commençons à converser régulièrement par e-mail. Je ne lui parle pas de mon histoire avec Sonja, parce que ça me fait encore trop mal.
Je reste évasive, en disant que j’ai eu quelques expériences avec des filles.
A mesure que nos échanges se multiplient, je me livre un peu plus, disant notamment que j’aime bien jouer avec des sextoys.
Aussi que je n’ai jamais eu de relation avec un homme.
Nous devenons en quelque sorte « proches à distance ».
Je ne sais plus qui de nous deux propose à l’autre de passer en communication vidéo.
Toujours est-il que nous commençons. Un peu maladroitement les premières fois.
Mais très vite, ça devient une habitude journalière dont nous ne pouvons plus nous passer ni l’un ni l’autre.
A mesure que la confiance s’installe, je lui explique quelques bribes de mes aventures avec Sonja.
Nos échanges sont francs et ouverts et deviennent progressivement sensuels et torrides.
Il semble de plus en plus intéressé par moi. Et moi, je suis captivée par lui.
Un jour, pendant que nous communiquons, il me demande de me caresser face à la webcam.
Comme je suis toujours ouverte à la sexualité et vu que nos échanges deviennent intimes, il ne doit pas insister et je m’exécute sans me forcer, sans la moindre arrière-pensée. Je me caresse longuement, à deux mains et je termine sur un orgasme violent et bruyant.
Puis, de jour en jour, cela devient une habitude, il me guide et me propose des variantes, comme d’utiliser mes jouets.
Lors de certains contacts, je n’arrive plus à articuler autre chose que des cris de jouissance, occupée que je suis à me défoncer les deux orifices en même temps comme une folle.
En prenant du recul par rapport à ces joutes de plus en plus perverses, je me dis que ce n’est pas le meilleur chemin pour trouver un avenir serein. Ca va trop loin. En conséquence, j’espace de plus en plus nos communications, jusqu’à ne plus du tout en avoir.
Les mois qui suivent sont pour moi une longue traversée du désert sentimental.
Je n’ai plus de nouvelles de Sonja, et ça me convient très bien.
J’ai aussi coupé les ponts avec tous les amis que j’avais en commun avec elle.
Résultat : je n’ai plus d’amis, et en dehors du boulot, je ne vois personne. Je m’applique donc à travailler le mieux possible. Au moins, ça m’occupe l’esprit.
Le soir je rentre chez moi, je suis seule, et je passe beaucoup de temps avec mes amants de plastique et de silicone : ma collection de godemichets, que Sonja m’a laissée lorsqu’elle a quitté la maison.
Je passe des soirées et des parties de nuit à me donner du plaisir, à me noyer dans mes orgasmes, à me caresser avec mes doigts et à peu près tout ce qui me tombe sous la main.
Je continue à regarder du porno aussi…
Je me rends bien compte que tout cela ne me mènera pas à grand-chose, même si j’aime toujours autant me donner du plaisir. Il faut que j’en sorte. Je fais le topo : à 26 ans, je n’ai eu de rapports sexuels qu’avec des filles ; jamais avec un seul homme ; j’adore me faire plaisir avec des jouets représentant plus ou moins fidèlement le sexe d’un homme ; alors finalement, pourquoi je n’essayerais pas avec un homme, un vrai, complet ?
Pendant des semaines, cette idée me trotte en tête, et finit par s’imposer comme une évidence. Je suis convaincue que c’est un bon plan d’essayer avec un homme. Mais quel homme ?
Je me motive à sortir le soir, après ma journée de travail. Je m’habille un peu sexy, je soigne mon maquillage et ma coiffure et je m’en vais écumer les bars, tavernes et discothèques de la ville. J’y consacre la plus grande partie de la nuit, quasiment tous les jours. Evidemment, mes performances au boulot s’en ressentent rapidement et je ne tarde pas à recevoir quelques remarques à ce sujet. Je vais donc alléger le rythme, d’autant plus que les hommes que je rencontre la nuit, même s’ils semblent intéressants au premier abord, se révèlent bien vite être des machos infects, simplement intéressés à me sauter. Même si c’est aussi mon objectif, il me faut malheureusement passer par la case « drague » bien lourde avec ces types sans aucune éducation qui croient que le monde entier tourne autour de leurs services trois-pièces.
J’essaie les clubs de sport aussi : fitness, natation, danse. Ça fait du bien à mon corps de le bouger un peu, mais au niveau des mecs, je n’enregistre aucun résultat encourageant.
Alors je décide d’arrêter ma chasse effrénée au mâle, pour me reconcentrer à fond sur mon travail.
Quelques mois plus tard, une nouvelle réunion internationale est planifiée. Trois jours à Genève. A l’Hôtel Mon Repos.
Arrivée sur place en soirée la veille du premier jour de réunion, je prends possession de ma chambre, je défais ma valise, je me douche longuement, je me sèche, et je m’allonge nue sur le grand lit. Puis je m’octroie une bonne séance de caresses et de masturbation avec quelques sextoys que j’ai amenés dans ma valise. La combinaison de mes doigts et des jouets font monter mon désir en flèche. Mes gémissements continus se changent en cris avec l’arrivée de l’orgasme. Le bien-être que je ressens tout de suite me fait plonger dans les bras de Morphée pour une douce nuit pleine de rêves sexuels.
Le lendemain matin, après un petit-déjeuner sur le pouce, je fonce à la salle de réunion. J’y arrive pile à temps. J’ouvre la porte, et je tombe nez-à-nez avec ….James !
Le monde continue à vivre autour de nous, mais nous, nous sommes tous les deux figés, les yeux dans les yeux.
En trois secondes, tous nos épisodes de communication vidéo défilent dans ma tête.
Toutes mes exhibitions, tous mes jeux, toutes mes caresses, tous mes orgasmes, tous ces aspects de moi qu’il a suggérés, regardés et commentés.
Je rougis. Lui aussi !
Nous n’échangeons pas un mot, pas une parole. Le silence. Total. Prenant.
Notre face-à-face de statues de sel est interrompu par un des participants. La réunion commence, nous devons prendre place autour de la table.
Mon esprit est absent toute la matinée. Je n’ose pas le regarder, lui qui est assis en face de moi. Les quelques coups d’oeil dérobés que je lance dans sa direction me confirment que son esprit vagabonde au moins autant que le mien.
Nous passons le reste de la journée à nous éviter, même pendant les pauses.
Un des participants annonce en fin de réunion qu’il nous invite en soirée pour un drink au bar. Tout le monde est présent à cette occasion. James s’approche de moi et engage la conversation.
Nos cerveaux piratés par les souvenirs intimes de nos communications sulfureuses rendent nos échanges désynchronisés et un peu maladroits.
Mais en même temps, il règne une ambiance torride entre nous. Des papillons se manifestent dans mon ventre, et je sens mon sexe s’électriser et s’humidifier.
L’idée prend forme dans ma tête que peut-être James pourrait me faire découvrir le sexe avec un homme ? Et je suppose qu’il serait très intéressé, avec ce qu’il a déjà pu apprécier de moi sur son écran.
De fil en aiguille, nous nous retrouvons dans sa chambre d’hôtel. Il est galant et prévenant. Tout est parfait jusque-là.
Il commence à me déshabiller, lentement en m’embrassant.
Tout à coup, je suis frappée de stupeur : face au lit, il y a un miroir sur pied. Immédiatement, l’épisode avec Sonja me revient en tête. Les images horribles défilent. James ne prête pas attention à ma réaction, trop occupé à me faire des choses, tout en délicatesse. Heureusement, je me relâche bien vite en m’abandonnant à ces délices.
Puis nous nous allongeons sur le lit pour de longs préliminaires, faits de caresses et de baisers.
James y va tout en douceur. Sans doute parce qu’il sait que je n’ai jamais fait l’amour avec un homme…
L’excitation monte en nous. Je me sens un peu fébrile face à l’inconnu et cette fragilité dope mes envies de stupre. Sous les caresses, je suis déjà bientôt prête à exploser de jouissance et finalement, il me pénètre. Deux choses m’étonnent tout de suite: la douceur de ce membre et sa chaleur. C’est très agréable, et je ressens bien l’impression d’être pénétrée par quelque chose de « vivant » ; ça me change de mes amants en plastique.
James prend l’initiative de changer régulièrement nos positions. Je baigne en plein bonheur. Jusqu’au moment où il me met à quatre pattes pour me prendre en levrette, face au miroir… Mais je prends sur moi, et oubliant l’image de mon reflet, mon corps s’abandonne à cette pénétration profonde.
Nous avons plusieurs orgasmes au cours de la nuit.
Et surtout, j’ai vraiment apprécié d’être prise par un homme. Enfin ! Et c’est une vraie révélation ! Pourquoi n’ai-je pas connu ce bonheur voluptueux plus tôt dans ma vie ?
Nous passons la fin de la nuit à dormir, lovés l’un contre l’autre. Au petit matin, je rejoins ma chambre à pas de loup pour me préparer pour la journée. Lui et moi, nous voulons rester discrets sur cette relation naissante.
Le programme des réunions d’aujourd’hui est plus court que celui d’hier.
Je ne sais pas pourquoi, mais mon côté érotomane se manifeste et me fait « oublier » d’enfiler des sous-vêtements. Je rejoins le groupe toute nue sous ma légère robe d’été.
La journée se passe en réunions diverses, ponctuées de quelques pauses. James me rejoint à chaque fois, et je m’amuse à me pencher vers lui pour lui offrir une vue imprenable sur ces seins qu’il a si bien flattés la nuit passée.
Les réunions se terminent à 15h00. James et moi, nous nous éclipsons discrètement pour aller nous promener au Parc Barton, face à l’hôtel, au bord du Lac Léman.
Nous parlons longuement de notre nuit. Il me demande mes impressions. Je balaie ses doutes éventuels en lui disant que c’était pour moi une découverte fantastique, une vraie révélation.
Nous nous asseyons sur un banc entouré de buissons, un peu cachés à la vue des nombreux visiteurs du parc en ce beau jour ensoleillé.
Encouragé par mon commentaire élogieux à propos de notre nuit, James ne tarde pas à me couvrir de baisers, ponctués de douces caresses sur tout mon corps. Une de ses mains va bien vite s’égarer dans mon corsage, pour aller taquiner mon téton qui réagit vite et fort.
Puis sa main s’enhardit à me flatter les cuisses. Insensiblement il remonte sa main vers mon sexe, pour constater l’absence de string.
J’écarte mes cuisses comme une sorte de permission que je lui accorde, et il commence à me doigter le sexe d’une façon délicieuse. Bien vite je commence à gémir sous ses caresses expertes ciblant mon clitoris et grâce aux mouvements de ses doigts dans mon antre de plaisir.
Mes petits cris et ma respiration haletante sont peu discrets, même étouffés par nos bouches soudées dans de langoureux baisers. James arrête ses caresses par peur de provoquer un attroupement.
Une idée me passe par la tête. J’invite par la main James à se lever. Je l’emmène derrière le banc où nous étions assis, et je le pousse debout contre l’arrière du dossier du banc de sorte que ses fesses s’y appuient.
Sur ce, je m’agenouille, et je dégrafe son pantalon. J’ai trop envie de m’essayer à la fellation. Je redécouvre le membre tendu qui m’a fait tant de bien la veille, et sans la moindre hésitation j’ouvre ma bouche en grand et j’y enfonce sa verge gonflée de désir le plus loin possible. Je retrouve cette sensation nouvelle de douceur et de chaleur. Je m’applique à faire bouger ma bouche dans des va-et-vient lascifs. Ma langue tournoie autour de l’objet du délit pour mieux se délecter de ce véritable bonheur. J’alterne coups de langue, ainsi que des va-et-vient superficiels jusqu’au bout du gland et des empalements profonds de toute la longueur du sexe de James.
Celui-ci me tient la tête à deux mains pour accompagner le mouvement. Très vite, je sens le sexe fièrement dressé palpiter un court instant. James gémit et éjacule de toute sa puissance de longues saccades de sperme dans ma bouche. Nouvelle expérience, nouvelles sensations. Le goût et la consistance du sperme, un peu surprenants, mais pas vraiment désagréables. J’avale soigneusement tout, et je me plais à encore passer de longs coups de langues sur la hampe, pour ne pas y laisser la moindre goutte.
Nous rentrons à l’hôtel, où nous nous installons en terrasse pour boire un verre. James me demande encore mes impressions, toujours inquiet de m’initier le mieux possible et que cela me soit le plus agréable. Je lui confirme que c’est bien le cas!
Il s’ouvre à moi. Il a toujours rêvé d’avoir une relation à trois, une femme et deux hommes. Il est un peu étonné de me voir réagir de façon très enthousiaste. Il commence à bien cerner mon côté érotomane. Il s’aventure à me demander si l’expérience me tente. Sans hésiter, je lui réponds un « oui » franc.
Pour le dîner du soir, nous nous faisons discrets puisque c’est en compagnie de l’assemblée au grand complet. Dès qu’il a fini son dessert, James s’absente un moment, puis revient à table avec un petit hochement de tête à mon intention. En quelques minutes, il a donc tout arrangé pour cette nuit. James est magique. Je quitte la table et je me dirige vers ma chambre, pour me rafraîchir. Après ma douche, je me sèche et je choisis une jolie mini robe noire, que j’accompagne de bas-couture et d’un porte-jarretelles en dentelle assortie. Rien d’autre, sauf des escarpins noirs à hauts talons. Le téléphone de la chambre sonne. C’est James qui m’invite à le rejoindre. Lorsque j’arrive dans sa chambre, je vois qu’il a fait livrer par le room service une bouteille de champagne ouverte dont le goulot dépasse d’un beau seau, et trois flûtes. Derrière le guéridon qui supporte le champagne, assis dans un petit fauteuil, un homme que je ne connais pas. Il doit avoir mon âge et il est beau comme un Dieu grec. Presque impressionnant.
En plus, le mec est sympathique et il arbore un sourire merveilleux. Il engage rapidement la conversation avec moi, et je détecte le même raffinement que j’apprécie tant chez James. Bienveillance, éducation, politesse, galanterie, le tout 100% naturel, pas du tout forcé. Une copie conforme de James, en plus jeune. Il s’appelle Anthony. Il est Suisse. Je ne saurai rien d’autre à son sujet.
James nous rejoint et nous trinquons gaiement.
Puis le plus naturellement du monde, James m’invite à me lever et m’emmène au pied du grand lit.
Là, debout, il m’embrasse amoureusement. Le plus charmant des baisers d’amour. Anthony est resté assis dans son fauteuil. Je ne le vois pas, il est derrière moi. James continue à me couvrir de bisous doux et fait descendre le zip de ma robe le long de mon dos. Puis sa bouche s’écarte de la mienne, et en me fixant dans les yeux, il fait descendre chaque côté de ma robe le long de mes bras. Ma robe tombe à mes pieds.
Anthony a maintenant certainement vue sur mon dos nu, uniquement décoré de mes longs cheveux auburn. Plus bas, le porte-jarretelle qui encadre mes jolies petites fesses et puis mes jambes avec mes beaux bas et mes escarpins. En réfléchissant quel effet je pouvais bien faire sur Anthony, je ne me rends pas compte qu’il nous a rejoint et que debout derrière moi il passe ses mains en douces caresses sur mes épaules, descend le long de mon dos, et viennent flatter mes fesses bien dodues.
James se dégage de notre baiser et de notre étreinte. Anthony fait passer ses mains sur l’avant de mon corps, commence à me masser les seins et se colle à moi, dans mon dos. A cette occasion, je remarque qu’il est nu, puisque je sens un sexe chaud, raide et dressé contre mes fesses. Il me donne plein de bisous dans le cou. Je saisis ses mains pour l’encourager à continuer ses caresses sur mes seins.
Ma respiration s’accélère et mon excitation est intense.
Je remarque à peine que James se déshabille prestement. Il nous rejoint, face à moi.
Il reprend son baiser et moi, fascinée et aimantée par ma récente découverte d’un jouet vivant, je prends son sexe à pleine main pour le caresser doucement. Au passage, je serre ce barreau de chair, pour en éprouver la rigidité et en ressentir la chaleur. Surprise : je sens un cœur y battre.
James me prend l’autre main pour m’attirer vers ce grand lit sur lequel deux délicieuses verges vont s’introduire dans mon corps. En maintenant toujours le sexe de James, je m’allonge sur le dos au milieu du lit, en le regardant dans les yeux et en passant ma langue sur mes lèvres comme le ferait une chatte affamée en attente de nourriture. J’imprime une douce traction à ma main qui emprisonne son sexe, et j’amène celui-ci à portée de ma bouche. Lorsque le gland touche presque mes lèvres, j’ouvre toute grande ma bouche pour l’y accueillir. Anthony n’est pas en reste : il a pris place entre mes cuisses après les avoir écartées, et approchant le visage et les doigts, il commence à me flatter le sexe avec ses lèvres, en donnant de petits coups de langue vifs et légers. Puis il enfonce un doigt, et bien vite un deuxième dans ma grotte déjà débordante d’humidité. Sa langue se concentre à présent sur mon clitoris, le caressant doucement et chaudement de rapides mouvements en tous sens. Je suis au paradis. James s’est approché, et plonge plus profondément son sexe dans ma bouche. Le gland gorgé vient buter au fond de ma gorge et me bouscule la luette. Ma main a lâché sa hampe pour faciliter la pénétration de ma bouche, et elle caresse maintenant délicatement les testicules, gonflés eux aussi. J’arrête ma fellation quelques fois, juste le temps de laisser exploser un gémissement aigu, résultat de la douce torture prodiguée par Anthony entre mes jambes et pour reprendre la respiration dont je perds le contrôle.
Anthony, clairement doué pour le cunnilingus, est occupé à me propulser du bout de la langue vers les nuages.
Mes deux amants du soir comprenant que je suis prête à exploser dans un orgasme tempétueux, changent notre position : James s’assied tout en haut du lit, dos à la tête de lit, les jambes écartées. Il me fait placer devant lui à quatre pattes. En descendant le visage, je peux reprendre ma fellation, et sans me faire prier, j’écartèle ma mâchoire sur le vaillant membre de James. Dans ma bouche, ma langue s’acharne gentiment sur le prépuce qui me fait ressentir les battements de cœur de James. Anthony, plus bas, agrippe mes hanches à deux mains et présente sa verge à l’entrée de ma grotte d’amour. L’entrée de mon sexe détrempée d’humidité n’oppose aucune résistance à la pénétration. La verge raide d’Anthony s’enfonce dans mon ventre d’une seule poussée, me provoquant un gémissement étouffé de ma bouche encombrée. Une fois bien enfoncé au fond de mon ventre, il imprime un mouvement de va-et-vient lent et profond, qui imprime à ma bouche le mouvement idéal pour continuer ma fellation.
Le rythme imposé par Anthony me provoque une montée immédiate vers l’extase : chaque coup de boutoir me rapproche inexorablement du point de fusion. Anthony hasarde un doigt dans mon recoin le plus secret. Très délicat, il observe mes réactions à cette incursion imprévue, mais le frisson qui me parcourt l’échine, la chair de poule et ma longue plainte étouffée par le sexe de James dans ma bouche lui confirment que je suis franchement réceptive à cette pénétration supplémentaire.
Nos corps s’agitent encore un peu. Plus vivement. Plus bestialement. C’est James qui donnera le signal, en explosant au fond de ma bouche. Je maintiens son sexe entre mes lèvres malgré mon envie de crier tout mon plaisir. Ma bouche pleine du sperme de James me provoque le déclic prévisible et mon corps part dans une intense vibration orgasmique. Il n’en faut pas plus à Anthony pour encore augmenter ses coups de boutoir, pousser une plainte bestiale en enfonçant un peu plus son doigt inquisiteur entre mes petites fesses, et décharger d’immenses jets de sperme au fond de mon sexe submergé.
Foudroyés par l’intensité de nos orgasmes, nous nous effondrons sur le lit. Immobiles. Absents. Légers. Je me sens si bien que je pense même m’être assoupie quelques minutes. Mais mon cerveau pas encore rassasié me sort de ma léthargie. Ma main va se saisir du sexe d’Anthony. Il a perdu de sa rigidité et est encore luisant des fluides de notre accouplement. Ma main lui fait immédiatement retrouver toute sa vigueur. Sans réfléchir, j’approche mon visage de sa verge et après lui avoir dispensé de doux bisous du bout de mes lèvres, je l’enfonce dans ma bouche. La vivacité du membre me confirme que l’on pourrait très bien recommencer directement une nouvelle joute. Mon autre main est entre temps partie à la recherche du sexe de James, qu’elle retrouve de toute évidence en pleine forme.
C’est comme un signal pour chacun de nous trois. J’arrête de sucer Anthony et ma main lâche un instant la hampe de James. Je me glisse à califourchon sur Anthony. Dès que mes genoux sont de part et d’autre de son bassin, ma main saisit son membre et l’enfonce directement dans mon cocon d’amour tout glissant. Pour bien marquer mon empalement, je descends mes hanches et pousse de tout mon poids, faisant complètement disparaître son sexe tendu au fond de moi.
Anthony approche ses doigts de mon bouton d’amour et le caresse légèrement.
Ma main reprend la verge de James. Emoustillé par le spectacle, celui-ci arbore une érection plus impressionnante que la précédente. Un regard et une légère traction de ma main lui font comprendre que je l’invite à prendre place derrière moi. Visiblement enchanté par cette perspective, il se positionne prestement derrière moi, tandis que toujours empalée sur Anthony, je descends mon buste vers celui-ci et je l’embrasse à pleine bouche. Ce faisant, je dégage la voie pour James. N’attendant pas d’autre signal, celui-ci présente son gland gonflé à mon entrée secrète. A défaut de lubrification, l’introduction de son membre se fait « à sec ». Pour moi, ce n’est pas un problème, au contraire. J’apprécie ce genre de pénétration. Ça augmente mes sensations : j’ai le sentiment de me faire violer, ce qui est quelque chose qui m’a toujours troublé. Peut-être qu’inconsciemment, je fais la liaison avec le jour où Sonja a livré mon corps à ses copines sur la table de la salle à manger. Dédouanées et libérées par mon aveuglement avec le foulard noir, plusieurs d’entre elles ne se sont pas privées du plaisir de me sodomiser avec des godemichets imposants, sans la moindre préparation ni lubrification.
Que de chemin parcouru en quelques heures, oserais-je dire : me voilà avec deux sexes masculins introduits au fond de mon ventre. Ceux-ci s’y agitent chacun selon leur propre rythme, parfois synchrone, parfois alternés. Cette double pénétration par de vrais hommes est une telle révélation pour moi. Cela me procure des sensations d’une intensité extraordinaire. Pour autant que je sois encore capable de raisonner, il y a d’abord cette sensation d’être remplie, que tout est bousculé, que mes organes internes sont mis sous pression par l’envahissement des deux membres virils. Ensuite, les deux membres fichés en moi me donnent vraiment l’impression d’être soumise à leur loi, sans vraiment avoir d’autre choix puisque mon corps est prisonnier de leurs corps. Cela renforce aussi cette impression de viol, de contrainte, qui ne me rappelle pas que de bons souvenirs, mais dans laquelle je me complais, et que j’apprécie énormément en cet instant. C’est au moment précis où j’ai ces idées en tête, que je la tourne et que mon regard tombe sur le miroir sur pied, qui me renvoie l’image d’une chienne prenant plaisir à être doublement pénétrée par deux sexes virils alternant leurs mouvements dans le ventre écartelé. Cette vision trouble mon esprit. Il y a un petit peu de peur provoquée par des souvenirs de ma relation avec Sonja dans une période pas très exaltante. Mais il y a aussi l’impression de voir et de vivre une scène sexuelle torride jouée devant mes yeux, en son et lumière, un peu comme si des acteurs pornos étaient sortis de l’écran de mon pc pour mieux me faire ressentir la tension sexuelle de leur emboîtement. Mon excitation monte de trois crans en voyant cette image.
James place ses deux mains à hauteur de mes épaules, et en imprimant une pression réelle mais contrôlée de ses ongles dans la peau de mon dos, il me laboure la peau en descendant ses deux mains en direction de mes reins. Arrivées là, ses mains remontent sur mes épaules et reprennent le même mouvement. Ce faisant, il déclenche une réaction en chaîne : mes seins s’écrasent sur le torse d’Anthony, augmentant encore le durcissement de mes tétons. Mais surtout, l’action de ses ongles accentue ma cambrure qui est aussitôt mise à profit par les deux hommes pour s’enfoncer encore plus au fond de moi. Je perds pied. Je ne suis plus moi, je suis un orgasme en devenir.
Les mouvements violents du sexe de James entre mes fesses rythment la mesure de mes cris de folle. Je hurle à pleins poumons. Anthony plaque ses lèvres sur les miennes et m’embrasse à pleine bouche pour étouffer tant bien que mal mes cris d’agonie pour ne pas ameuter tout l’hôtel. Je me lâche. Ma folie me fait faire des mouvements de squats des hanches, comme le font si bien certaines jeunes femmes de nos jours. Cela semble incroyable, mais de remuer mes hanches accentue encore la pénétration de ces deux verges. Mon orgasme me prend par surprise et je m’y abandonne complètement. Je crie de plus belle dans la bouche d’Anthony. Mes deux amants ne résistent plus et jouissent en même temps, en inondant l’intérieur de mon corps d’un tsunami de semence.
L’orgasme intense semble ne plus s’arrêter. Finalement, cette tempête se calme, mais sa violence nous tétanise et nous restons emboités tels quels de longues minutes.
Et dans la foulée, nous nous endormons, profondément apaisés.
Le lendemain matin, nous nous réveillons à peu près en même temps. La dernière journée de réunion est au programme. Pleine de vitalité, je bondis hors du lit et je me dirige vers la salle de bains pour me doucher. Mes deux amants me rejoignent sous le jet tout chaud. James, collé derrière moi, empoigne mes seins, il les caresse gentiment, et me masse les tétons entre ses pouces et ses index. Anthony se saisit de la douchette à main et la dirige vers mon sexe. Le jet me masse et me picote le clitoris, réveillant en moi de nouvelles envies. Conscients que le temps nous est compté avant le début des réunions, nous terminons à regret cet épisode prometteur, nous sortons de la douche et nous nous séchons. Mais la douchette a fait son effet, et surexcitée, je saisis les deux mâles par leurs extrémités et je les emmène dans la chambre. Arrivée là, je m’assieds sur le lit et je caresse les membres des deux hommes restés debout face à mon visage. Je prends le temps de regarder en détail la mutation des deux membres. Ceux-ci se tendent rapidement, et je ne résiste pas à la tentation de les gober alternativement tout en les caressant chacun d’une main. Mes deux mecs sont aux anges. A un moment, j’essaie bien d’englober les deux glands dans ma bouche, mais c’est trop ambitieux et je dois malheureusement renoncer.
Il me vient alors une idée. Je reprends quelques temps ma fellation alternative, complétée de caresses et de pressions de mes deux mains. A un moment donné, je m’arrête, je les regarde alternativement avec une expression à la fois ingénue et provocante, et je leur dis sans hésiter : « Vous pouvez servir le petit déjeuner ! »
Sur ce, j’active mes mains dans une masturbation endiablée de ces deux membres, en gratifiant chaque gland de petits coups de langue. Ce traitement insurmontable les fait grimper irrémédiablement vers l’extase. Sentant les deux membres palpiter, j’accentue la pression de mes mains à la base de chaque gland, et je reprends d’insensibles va-et-vient sur les deux verges tandis que j’ouvre la bouche en grand. James et Anthony jouissent quasiment au même instant, m’envoyant de grosses giclées de sperme dans la gorge. La violence de ces saccades projette quelques jets sur mon visage : mon nez, mes yeux, mon front et mes joues sont barbouillés de sperme. Lorsque les deux membres se calment, je relâche l’emprise de mes mains et je récupère soigneusement chaque giclée égarée avec mes doigts, que je suce avidement en regardant mes deux Apollons comme si je m’apprêtais à les dévorer tous crus.
Il nous reste juste le temps de nous habiller pour rejoindre rapidement la première réunion du jour à laquelle j’assiste la bouche encore pleine des saveurs masculines dont je me délecte et à nouveau sans le moindre sous-vêtement.
Voilà comment, à 26 ans, une nouvelle vie s’ouvre à moi. Et même si à partir de maintenant je croise une fille appétissante qui me provoque plein de petits papillons dans le ventre, je lui ferais l’amour. Mais plus jamais je ne pourrai me passer des sensations délicieuses que me procure un sexe masculin. Ou deux. Voire plus…
Merci James !
7 réflexions sur “Milena”
- ASSOULINE Un grand merci pour ce récit des plus agréables et excitant, à lire et relire…Gerald
- FANTASMEURLong récit, mais tellement bon à lire. Que de découvertes pour Milena. Un régal à tous points de vues.
- BRICHETWaouh !!!! Tout y est ma belle Auxane. Quel récit très long qui nous fais saliver ! Fantasmer ! Franchement une merveille !
J’ai mis un certain temps à le lire mais il fallait absolument que je me pose et que je puisse apprécier. Et là je me suis plongé dans ce texte qui m’a fait voyager. En tout cas l’histoire vécue par ton ami et magnifiquement enrichie de ton talent plus quelques photos .rien à redire. Milles mercis pour cela; maintenant il faut que je me remette de mes émotions. Quel talent ma belle Auxane !!!!! Déesse de la Belgique et du érotico-sensuel. Si un jour je pouvais te rencontrer et pouvoir dialoguer ce serait le summum. Merci encore milles bisous - CADMOTrès joli texte en effet. On a l’impression d’une exploration de tous les possibles… Donc Milena n’a plus revu Sonja ? Quelle tristesse…
- LES AMOURS D’ODILE A reblogué ceci sur Les Amours d’Odile.
- STEPHANE CHAMAK Je ne lis pas de littérature érotique mais déjà tu ne tombe pas dans la mièvrerie ou la vulgarité. L’écriture est plutôt sobre tout en restant évocatrice et assez efficace dans son intention. Attention avec certaines formules comme « mes larmes coulent à flots » (des formules comme ça j’en ai plus lues depuis les années 80 )
Tu as le bon goût de ne pas infliger à ton texte des dialogues stupides.
Tu distilles un peu d’humour bienvenu , ça évite la monotonie du procédé parfois un peu répétitif.
Finalement c’est assez efficace dans le genre et pour tout dire beaucoup mieux écrit que je l’aurais cru. - MAJUNGA CHARLES Bonjour Auxane Superbe récit très captivant. J’ai adoré la découverte de sa sexualité de Miléna