Les Inconnues Rouges

Par souci de discrétion, j’ai pris un taxi pour me rendre à cet endroit.

Sans doute aussi pour bien marquer la rupture par rapport à ma vie habituelle.

Et me voilà sur le trottoir, avec ma grosse valise, face à cette entrée cochère. Derrière, j’aperçois le parking en gravillons avec deux voitures stationnées, et en arrière-plan, une bâtisse relativement quelconque, anonyme et discrète comme peut l’être une maison familiale.

J’ai l’impression de rentrer de plein pied dans une nouvelle vie.

De faire un gigantesque saut dans le vide.

Ce sera une journée de grande première : donner rendez-vous à un homme dans un Love-Hôtel pour vivre des expériences sexuelles originales.

Comment ça va se passer ? Est-ce que je serai à la hauteur ? Quelle sera sa réaction, à lui ?

Le scénario que j’ai prévu pour cet après-midi est complètement inédit pour moi. Je vais successivement rentrer dans la peau de trois inconnues qui vont se déchaîner avec cet homme.

J’ai tout préparé, jusque dans les moindres détails. Via internet, j’ai réservé deux chambres contiguës au dernier étage de ce Love-Hôtel. Les portes des deux chambres sont les seules sur ce dernier palier.

Il y a une chambre « Rouge » et une chambre « Noire ». Les noms des chambres décrivent l’ambiance générale : chacune est intégralement décorée à la couleur du nom qu’elles portent. Les murs, le plafond, le sol, le mobilier, les tentures, la parure de lit, la déco, le moindre détail : tout est unicolore.

La Rouge sera ma loge, mon vestiaire.

La Noire sera celle de nos aventures.

Je suis très agréablement surprise par ces chambres : elles sont bien décorées, elles sont très propres et il y règne une odeur très agréable. Je m’attendais à éprouver un haut-le-cœur en arrivant dans une espèce de lupanar glauque et délabré, ou pire, mais je dois reconnaître que c’est impeccable.

Il y a quelques jours, j’ai envoyé à l’homme des instructions. Brèves, mais précises. Par la poste. Toujours par souci de discrétion.

Rendez-vous le mardi 9 janvier à 14h00 à l’Hôtel La Maison des Couleurs, chambre « noire ».

Votre dress-code : tout en noir.

Vous allez rencontrer plusieurs femmes.

Il vous est formellement interdit de les toucher ou de leur parler.

Elles par contre pourront vous toucher, et elles auront le plein contrôle sur le fil des événements.

Laissez-les faire, ce sont des expertes.

Si, à un moment donné, elles éprouvaient l’envie d’avoir un orgasme, n’intervenez jamais : elles le provoqueront d’elles-mêmes.

Le temps de régler la location par une sorte de judas au rez-de-chaussée, je monte avec ma valise vers le « théâtre des opérations ».

Arrivée dans la chambre Rouge : je hisse ma valise sur le lit et je l’ouvre.

Pour commencer, je me munis du haut-parleur Bluetooth, ainsi que des deux bouteilles de Pinot Noir et des verres pour aller installer tout cela dans la chambre Noire. J’en profite pour régler tous les éclairages au strict minimum, laissant la chambre dans une semi-pénombre : juste ce qu’il faut de lumière pour tout apercevoir, mais sans plus.

Revenue dans la chambre Rouge, je sors le pc, le branche et je prépare mes playlists de musiques.

Puis je m’attaque à la préparation de mon premier personnage : je vais prendre l’apparence d’une geisha contemporaine.

Je commence par apposer des lentilles colorées sombres sur mes yeux. Obligatoire : mes yeux d’un bleu profond ne seraient pas très crédibles pour une asiatique….

Puis je passe au maquillage : j’appose un fard sombre pour creuser mes joues et faire saillir mes pommettes qui elles, sont poudrées dans une teinte pâle, presque blanche, comme le reste de mon visage.

Je m’autorise même une petite fantaisie : une tâche de beauté sur la pommette gauche.

Je soigne tout spécialement le grimage de mon regard, dont je fais des yeux bridés.

Puis vient le tour d’un rouge à lèvres rouge rubis très brillant.

Un petit coup d’œil au résultat me confirme que je suis dans le bon.

Ensuite, j’enfile les vêtements: une robe longue, fourreau à col Mao, en soie rouge brillante, sans manches, avec de longs gants de soie rouge assortie.

La robe longue est échancrée sur les deux côtés depuis le bas jusqu’au-dessus de la taille ; donc aucun sous-vêtement à prévoir dessous. Ça tombe bien, j’adore cette sensation de nudité sous une robe.

Des stay-ups rouges et des sandales rouges à très hauts talons.

La touche finale : une perruque de cheveux noirs jais mi-longs, coiffée au carré, avec une frange longue et droite au ras de mes yeux : la parfaite asiatique !

Finalement, les accessoires : un éventail, un fume-cigarette et une pochette recelant quelques trésors, le tout assorti au reste de ma tenue.

Je suis prête !

ChinoiseJe contemple mon reflet dans le miroir : je sursaute en y voyant une étrangère ; je ne me reconnais même pas moi-même.

J’entends un bruit de pas dans l’escalier et la porte d’à côté s’ouvrir et se refermer : mon partenaire de jeux est arrivé.

Dernier contrôle à ma tenue : parfait !

Je lance la musique « Fumerie d’Opium » sur mon pc.

Je quitte la chambre Rouge et j’ouvre la porte de l’autre chambre.

Lorsque j’entre dans la chambre Noire, je ressens de nouveau cette sensation de grand saut dans le vide.

L’homme est là, debout, face à la fenêtre, il me tourne le dos.

J’ouvre mon éventail et le place devant mon visage, au ras de mes yeux.

Il se retourne et me scrute.

Je vois son regard impressionné d’être face à cette geisha inconnue et très excitante.

Pas un mot échangé. L’atmosphère est lourde. La musique lancinante et enivrante.

Je lui fais signe d’un doigt vers le sol pour lui indiquer où il doit se placer : il se met en place, debout, à 2 mètres d’un fauteuil bas dans lequel je m’assieds.

Je pose ma pochette sur le guéridon juste à côté du fauteuil et je le regarde fixement par-dessus mon éventail, en silence, pendant 2 à 3 minutes, en tirant de longues bouffées de mon fume-cigarette, provoquant une brume très en phase avec la situation et avec mon personnage.

Finalement, dans l’atmosphère enfumée, j’éteins ma cigarette et je pose mon fume-cigarette et mon éventail sur le guéridon.

Toujours dans un silence à peine troublé par la musique, en le fixant intensément, mes mains se saisissent du bas de ma robe, et relève celle-ci jusqu’à ma taille, comme si c’était le geste le plus naturel du monde.

Mes doigts se glissent entre mes jambes pour commencer une douce caresse sur mon sexe. J’y apporte le soin et la délicatesse voulus pour déclencher en moi une excitation irrésistible.

Insensiblement, sous l’effet du jeu divin de mes doigts, mes jambes s’écartent, mon souffle devient plus court et s’entrecoupe de petits gémissements de chatte en chaleur.

Pendant qu’une main continue à stimuler la zone de mon sexe, l’autre ouvre la pochette sur le guéridon pour en sortir des boules de geisha.

J’enfonce délicatement les boules au fond de mon sexe et cette pénétration s’accompagne d’une cambrure de mon corps, de gémissements et d’un petit cri aigu lorsqu’elles sont en place.

Puis, ma main retourne dans la pochette pour se munir d’un vibromasseur effilé.

Regard toujours fixe, pas un mot, pas un bruit, sauf la musique, le ronronnement du vibro, et mes gémissements de plus en plus prononcés.

Son regard vacille en voyant cette scène torride.

L’action double des boules et du jouet vibrant m’amène très vite un orgasme long et violent. Je me déchaîne, mon corps s’agite de soubresauts frénétiques, je pousse des cris aigus. Je meurs.

Puis vient progressivement l’apaisement.

Lorsque mon esprit a repris le contrôle, je pose le vibro sur le guéridon, je laisse les boules à leur place et je me lève pour me placer debout face à lui, à une vingtaine de centimètres, le regard vers le bas, comme la bonne geisha que je suis.

Je m’agenouille.

Sans doute touché par le spectacle que je viens de lui donner, il approche une main de mes cheveux, mais je la repousse sèchement. Geste sans appel.

Je défais sa ceinture, son pantalon et je descends son boxer.

Mon visage est en face d’un pieu de chair impressionnant, palpitant et dur.

D’une main, je lui caresse cette hampe prometteuse, puis ses bourses, au moment où ma bouche s’ouvre pour accueillir cet énorme gland au ralenti. Je le ressors aussitôt de ma bouche pour taquiner de ma langue affamée l’intégralité de sa hampe, de haut en bas et de bas en haut.

Je pose un petit baiser sur le bout du gland, puis j’enfonce la pointe de ma langue dans son méat.

Mon autre main enserre le sexe viril à sa base.

Ma bouche continue à distribuer toutes les caresses possibles et imaginables sur son sexe dressé, allant même jusqu’à simuler une morsure du gland, mais sans aucune pression des dents. Ma langue s’enroule sur toute la longueur, puis la pointe lui titille la zone sensible autour du frein, comme un papillon, dans une sarabande de frôlements infernalement doux et rapides.

Après de longues minutes de caresses insoutenables pour le sujet de mon attention, je finis par retirer mes mains qui vont reprendre leurs caresses divines dans la fourche de mes jambes, alors que j’essaie d’enfourner le sexe raide au plus profond de ma bouche.

Puis j’entame des va-et-vient de celle-ci sur le gros sexe tendu.

Les caresses de mes mains font que je gémis la bouche remplie et distendue par cette colonne de chair. Les vibrations de mes gémissements sur son sexe sonnent la fin de sa courageuse résistance, et dans un cri, il inonde ma bouche de longues saccades de sperme dont je me délecte en continuant de gémir.

Lorsqu’il a fini de gicler au fond de ma gorge et que j’ai achevé d’avaler sa semence, ma bouche quitte son sexe, je me relève face à lui, le regard à nouveau baissé. Je fais volte-face, ramasse mes accessoires sur le guéridon et je quitte la chambre sans un mot.

Je regagne la chambre Rouge.

L’homme resté seul et pantelant au milieu de la chambre est encore noyé dans les sensations que cette asiatique vient de lui faire ressentir.

Waouw ! Je suis en train de rêver.

Cette asiatique est hyper douée : elle a un de ces talents pour la fellation…

Il y avait ce petit « je-ne-sais quoi » de plus, qu’aucune européenne ne pourrait donner.

Et l’exotisme des asiatiques ne m’a jamais laissé indifférent.

Dans la chambre Rouge, je prépare fébrilement le « deuxième tableau »

Je me déshabille complètement, j’enlève ma perruque noire.

Je remplace d’abord les lentilles colorées par une nouvelle paire d’une splendide couleur brun-noisette.

AA le-retour-du-kholPuis je refais mon maquillage. Je commence par les yeux dont j’efface l’aspect bridé, et en utilisant une abondance de khôl, je me crée un regard intense en accentuant la profondeur, et en terminant par une arabesque autour de l’œil.

Je m’enduis tout le corps d’huile parfumée au Jasmin.

Puis j’applique ce qui ressemble comme deux gouttes d’eau à des dessins au henné rouge sur la moitié du visage et sur le dos et les paumes des deux mains.

AA dde29c85d7067c39c4665c11a1d134d3En réalité, pour gagner du temps, ces dessins sont des tatouages éphémères qui se posent en quelques secondes.

Toujours nue, j’enfile ma nouvelle tenue, faite uniquement de foulards et de paréos rouges et vraiment transparents. Pour le dessus, j’ai prévu une sorte de boléro ne cachant rien ni des formes de ma poitrine ni de l’excitation de mes tétons.

Puis j’enfile une ceinture à laquelle sont attachés des tas de ces mêmes foulards et paréos rouges et transparents, tous noués par un coin à la ceinture, et sous forme de pans, ils forment une espèce de jupe longue asymétrique, découvrant mes chevilles à l’avant et dessinant une longue traîne à l’arrière.

Puisque les éléments ne sont pas cousus entre eux, chaque ouverture donnerait à une main fureteuse un accès direct à mon sexe ou à mes jolies petites fesses.

Par-dessus mes « vêtements » j’enfile un tas de bijoux : parure de cou descendant entre mes seins, une ceinture de plusieurs rangs à la taille par-dessus ma « jupe ». Le même genre de bijoux vient orner mes bras, au-dessus des coudes et à mes poignets, et mes jambes, au-dessus des genoux et aux chevilles. Tous ces bijoux ont la caractéristique de tinter au moindre mouvement : le résultat est qu’une simple démarche avec un léger déhanché se transforme en une mélodie sexy rythmée très envoûtante.

AA 16473184_732709960220028_1867981399055005758_n (1)Je suis presque prête.

J’enfile maintenant une perruque de très longs cheveux bouclés bruns aux reflets noisette. Par-dessus, à hauteur du front, j’ajoute encore un tour de tête en bijoux sonores. Puis je masque le bas de mon visage d’un voile rouge et transparent comme le reste de ma tenue.

Le miroir me renvoie maintenant l’image d’une apparition du Conte des Mille et Une Nuits. Et le plus infime de mes mouvements s’accompagne des tintements de mes bijoux.

Le temps de changer la musique sur mon PC en choisissant une musique arabe doucement rythmée et lancinante, je quitte, pieds nus, la chambre rouge pour faire mon entrée dans la chambre Noire, en marchant avec un généreux déhanché, qui fait tinter mes bijoux au rythme de la musique.

Je m’immobilise au centre de la chambre, à deux mètres de l’homme qui a toujours son sexe à l’air. Et j’entame une danse du ventre lascive et ponctuée de la musique enivrante de mes bijoux.

Après seulement quelques mouvements de danse évocateurs, j’aperçois la hampe de l’homme se redresser et durcir avec appétit. Cette vision provoque un tourbillon dans ma tête et une tempête dans mon ventre, inondant mon sexe d’une humidité prometteuse.

Je continue ma danse en m’approchant de lui et tout en lui tournant autour au gré de mes déhanchements lascifs, je le déshabille progressivement et complètement, sans manquer d’effleurer régulièrement son sexe, redevenu à présent un impressionnant épieu de chair turgescente.

Lorsqu’il est nu, je me mets face à lui et en continuant à me déhancher, je pointe un doigt vers le lit.

Il comprend qu’il doit s’y allonger.

Il se couche sur le dos en me regardant.

Tout cela toujours selon mes instructions de départ: pas un mot échangé, et sans me toucher.

Mes mains parcourent mon corps avec légèreté, en ne négligeant pas la moindre parcelle de peau. Puis, des deux mains, j’entame un massage plus prononcé de ma poitrine, en malaxant délicatement mes seins, ce qui a pour effet d’encore faire gonfler mes tétons qui pointent maintenant de façon complètement obscène à travers le voile transparent qui les couvre.

Mes mains descendent vers mon ventre. Elles écartent les pans de foulards et de paréos pour exposer toute la zone de mon sexe au regard lubrique de l’homme.

Elles entreprennent de me caresser le sexe, d’abord doucement, puis de plus en plus nettement, dans le rythme de la musique, l’une caressant mon clitoris avec insistance, l’autre pénétrant mon intimité de plus en plus fort. Ces doigts pénétrants, animés de façon presque autonome, alternent la pénétration de mon sexe avec une remontée régulière vers ma bouche, où mes lèvres et ma langue s’activent à goûter et savourer mon miel parfumé. Je commence à gémir.

Lorsqu’à force de caresses je sens la montée d’un nouvel orgasme, j’arrête celles-ci, je me dirige vers le lit, je grimpe dessus, les mains maintenant encore écartés les pans de ma « jupe » et je m’installe à cheval au-dessus de l’homme, en lui tournant le dos. Mon sexe est au contact direct du sexe énorme de ma monture, et je sens celui-ci frétiller contre les lèvres de mon sexe. Mes mains agrippent maintenant les pans arrières de ma jupe pour les écarter, et offrir mes petites fesses dodues au regard de l’homme. La main qui avait alternativement visité mon sexe et ma bouche envoie ses doigts chargés du mélange de salive et de cyprine à l’assaut du creux de mes fesses.

Après avoir répandu un peu de ce mélange divin aux abords du recoin le plus secret de mon corps, un, puis deux doigts pénètrent celui-ci, déclenchant un ouragan dans ma tête.

Rapidement, les doigts avides quittent le fond de ma personne pour venir agripper le sexe de l’homme, et le tenir bien droit pour faciliter l’empalement de mes jolies fesses sur cette grosse barre chaude, dont la dimension imposante déclenche un râle impressionnant de ma bouche, mêlant plaisir et douleur.

Je me sens à présent chienne, et j’adore cette sensation.

Je commence à onduler du bassin, lentement et profondément, m’arrachant un cri à chaque fois que je m’empale jusqu’à la garde sur l’énorme barreau qui me défonce. Après quelques minutes de ce traitement inhumain, aussi bien pour moi et le fond de ma personne que pour la hampe turgescente qui me poignarde profondément et son propriétaire, j’entends derrière moi un cri viril qui me confirme qu’il se déverse à grandes giclées tout au fond de moi. Ce signal déclenche en moi, à la seconde, un orgasme violent et bruyant.

Après que ce membre ait vibré en moi en déversant de longs flots de sperme au fond de mon âme, nos cris mutuels s’atténuent, et il n’y a plus que la musique qui trouble le calme qui règne maintenant dans la chambre Noire.

Après quoi, je me sens toute molle et je couche mon dos sur le haut du corps du coupable de mon orgasme, mes longs cheveux bruns couvrant intégralement son visage, tandis que mes deux mains reprennent des caresses d’une douceur infinie entre mon sexe et les bourses à peine dégonflées du mâle couché sous moi, son sexe toujours profondément fiché au creux de mes reins.

Lorsque nos respirations ont repris un rythme à peu près normal, toujours sans un mot, je me redresse, je quitte à regret le sexe qui était ancré en moi, je descends du lit, et sans le moindre regard vers celui qui vient de me sodomiser profondément, je me dirige vers la porte, au son de la musique et du tintement de mes bijoux.

L’homme resté seul, allongé sur le lit a bien du mal à reprendre pied dans la réalité, après les délices que cette femme « Sirocco » vient de lui offrir.

Les images et les pensées s’entrechoquent dans sa tête…

Bonjour l’exotisme.

Après l’Asie, l’Arabie.

Cette furie était déchaînée.

Je n’ai peu de doute sur le sang qui coule dans les veines de cette diablesse adepte de la sodomie….

Et la musique sexy de ces bijoux au rythme de ses mouvements….c’est envoûtant !

J’ai rejoint la chambre Rouge, malgré mes jambes un peu cotonneuses suite à la violence de l’orgasme que je viens d’éprouver. Je reprends vite mes esprits. Je dois préparer le tableau final.

Je me déshabille complètement, y compris mes bijoux sonores. J’enlève au démaquillant mes tatouages éphémères en henné rouge sur mon visage et sur mes mains. Je me refais un maquillage léger correspondant à celui de tous les jours. Un soupçon plus « festif » : j’ai préféré une ombre à paupières rouge à la nuance habituelle.

Puis j’enfile ma tenue suivante. Toujours sur le thème rouge….

Cela commence par une superbe parure de sous-vêtements rouges : soutien-gorge pigeonnant en dentelle, décoré de plusieurs rubans de satin brillant rouge, avec le string et le porte-jarretelles assortis. Les bas sont des résilles rouges à larges mailles. Pour les chaussures, j’ai choisi des sandales en vernis rouge, à plateau et avec des hauts talons vertigineux….Je suis habituée aux talons hauts, mais je suis contente de ne pas devoir marcher trop longtemps avec ces échasses. Par contre, elles me font des jambes longues et superbes. Un coup d’œil au miroir me confirme que je suis hyper sexy dans cette tenue. Mais je n’en reste pas là : j’ai l’intention de customiser ma tenue !

AA 15966036_367103473658145_3135561184327590297_nPour cela, je sors de ma valise un tas de longs rubans larges de satin brillant rouge. Un par un, je vais nouer ces rubans sur plusieurs parties de mon corps, chaque fois de la même façon : d’abord un nœud plat bien ajusté à la partie du corps où le ruban est placé. Puis, par-dessus le premier nœud, je fais un joli nœud « cadeau » classique. De bas en haut, je mets en place les rubans : sur mes chevilles, ainsi qu’à mi-cuisses, puis un très long ruban autour de la taille, ensuite d’autres aux poignets et à mi-biceps. J’en noue aussi un à l’avant de mon soutien-gorge, en remplacement de la fixation centrale. J’en positionne deux dans mes cheveux, après avoir coiffé ceux-ci de façon tout à fait inhabituelle pour moi : deux couettes, de part et d’autre de la tête, comme je coiffe parfois mes filles. Je noue les rubans à la base des couettes. Je suis bientôt prête. Pour masquer mon visage, j’ai prévu un voile de dentelle rouge qui couvre le dessus de mon visage, depuis le haut du front jusqu’au bas du nez.

AA 21687431_10203695204417413_944312188346016232_nJe vérifie le résultat dans le miroir : je ressemble à une déesse du sexe, emballée comme un cadeau. J’enfile la dernière pièce : une énorme cape rouge qui me recouvre le corps complètement jusqu’aux pieds. La cape est munie d’une énorme capuche dont je me recouvre la tête, ne laissant visible que le bas de mon menton.

Je suis prête, j’y vais ! Je change la musique pour passer sur une de mes playlists préférées : de la musique salsa lente, merengue et bachata, qui sublime si bien les ébats sexuels, à mon avis. Et c’est parti.

Lorsque je pénètre dans la chambre Noire, l’homme, toujours nu, trône debout au milieu de la chambre.

Je perçois une lueur d’étonnement dans son regard lorsqu’il voit s’approcher de lui cette silhouette en cape rouge un peu inquiétante.

Je m’immobilise tout près de lui cette fois-ci. Sans lever ma tête toujours enfouie sous la grande capuche, j’ouvre la cape en passant mes bras par devant. Là, il découvre un peu mieux le cadeau qui l’attend….

Toujours sans un mot, je tends un poignet vers son visage. De l’autre main, je saisis l’extrémité du nœud cadeau accroché à mon poignet. Je lui enfonce d’autorité le bout du ruban dans la bouche. Il comprend qu’il doit agripper ce bout de ruban avec les dents. Puis j’éloigne doucement le poignet où est noué le ruban, et le nœud cadeau se défait, me laissant le poignet enfermé dans le nœud plat du ruban.

AA Noeuds rougesL’homme comprend ce que j’attends de lui, et prend un plaisir visible à démonter chacun des nœuds cadeaux avec ses dents. Tout cela semble se dérouler au ralenti. Le temps s’est suspendu, et nous sommes tous les deux concentrés sur le démontage de tous ces nœuds cadeaux. Il va jusqu’à se mettre à genoux pour défaire les nœuds de mes chevilles, en me gratifiant au passage de doux baisers sur mes pieds.

Il a gardé le meilleur pour la fin : le nœud de mon soutien-gorge, derrière lequel il n’y a pas de nœud plat. Autrement dit, lorsqu’il défait le nœud, mon soutien-gorge s’ouvre et tombe à mes pieds, dévoilant complètement ma poitrine….

Et là intervient la « surprise du chef » : avant d’enfiler mon soutien-gorge, j’avais orné mes tétons selon le même principe, mais avec des rubans beaucoup plus étroits. Au moment de la mise en place de ces rubans, et encore toujours maintenant, cela avait imposé à mes tétons une pression supplémentaire et permanente, les faisant pointer encore plus que ce que mon état d’excitation avait déjà provoqué. En découvrant cette surprise, un sourire gourmand a éclairé la bouche de l’homme. Il a approché sa bouche de chacun de mes tétons, mais plutôt que de les libérer, sa bouche a sucé et mordillé chacun d’eux. Il était visiblement décidé à laisser mes tétons prisonniers….A ma plus grande satisfaction.

Une fois que tous les nœuds cadeaux sont défaits, c’est le moment pour moi de tomber la cape.

L’homme découvre mon corps dans toute la splendeur de ma parure de sous-vêtements et agrémenté de rubans de tous côtés, mon visage caché derrière mon masque de dentelles, mes couettes. J’enlève mon string.

Je vois l’émerveillement dans le regard de l’homme ; le même qu’aurait un gosse qui déballe le cadeau de Noël dont il a toujours rêvé. Je capte aussi quelque chose de spécial dans ses yeux : un éclat inhabituel ; une sorte de bienveillance amoureuse et, en même temps, un soupçon de sourire, peut-être du remerciement. Mais je ne m’y attarde pas, il faut continuer.

Toujours pas un mot échangé. D’un doigt pointé vers ses pieds, je lui fais comprendre qu’il ne doit pas bouger. Je monte sur le grand lit, et je m’y allonge sur le dos. Le regard de l’homme me suit et apprécie.

Tout au long des deux « tableaux » précédents, j’avais le contrôle total de l’action. Mon partenaire de jeu n’a eu droit à aucune initiative, aucune parole. Il serait bien mal venu de se plaindre, parce que je crois pouvoir dire que je me suis bien occupée de lui. Malgré tout, lorsque j’ai préparé le scénario de cette après-midi de débauche, je pensais qu’il fallait qu’à un moment donné, je lui cède le contrôle des événements, tandis que moi je subirais passivement mais avec délectation ce qu’il m’infligerait. C’est avec cette pensée en tête que m’est venue l’idée de la suite du « tableau » actuel.

Allongée sur ce lit, j’étire mon corps de tout mon long, bras et jambes en croix. Les doigts de ma main droite saisissent le ruban accroché à mon poignet gauche et le passe autour du barreau en fer forgé de la tête de lit. Puis, de l’index, je fais signe à mon partenaire de jeu de venir me rejoindre. Il a tout de suite compris mon idée.

Il me rejoint, et m’attache vigoureusement, à l’aide des rubans, les poignets aux deux coins les plus éloignés de la tête de lit. Il noue dans la foulée les rubans de mes biceps aux deux côtés du lit. Mon petit gémissement lascif lui confirme que son initiative correspond bien à mes attentes. Mes bras sont maintenant complètement immobilisés par les rubans. Pour la suite, il prend une initiative prometteuse que je n’avais pas vraiment prévue, mais je n’ai pas beaucoup d’autre choix que de le laisser faire.

Il se munit d’un gros oreiller, il me soulève le bassin, et glisse le coussin sous mes fesses. Après, il se saisit du ruban attaché à une de mes chevilles et, en me pliant la jambe, il le passe autour de la cuisse correspondante, puis, il fait un nœud. Il procède de la même façon avec l’autre jambe. Ensuite, il prend le long ruban que j’ai toujours à la taille pour l’accrocher de part et d’autre du lit. Il me devient difficile de faire le moindre mouvement, mais il n’en a pas fini avec mon corps. Il termine son œuvre en saisissant les rubans accrochés à mes cuisses et en tirant mes jambes vers le haut et en arrière, il noue les rubans à la tête de lit, à côté des poignets correspondants. Je suis maintenant tout à fait immobilisée, dans la plus obscène des poses, puisque mes jambes écartées ne cachent absolument rien de mon sexe, offert à toute l’attention de l’homme.

Il s’agenouille à présent sur le lit, et en scrutant intensément la moindre de mes réactions, il approche son visage de la fourche de mes jambes.

Pour commencer, il passe lentement et délicatement le bout de sa langue sur l’intégralité de mon sexe. Tout en douceur. Ce premier passage de sa langue envoie une onde de choc intense dans tout mon corps et me foudroie le cerveau. Je ne peux retenir un petit cri. Puis, il recommence, toujours aussi lentement. Et encore, et encore. A chaque nouveau passage, sa langue augmente légèrement sa pression et s’immisce de plus en plus loin entre les lèvres de mon sexe. Après quelques minutes de ce traitement, je suis comme une vraie furie : je me débats dans mes liens, mon souffle est intense, et je ne peux retenir mes cris et gémissements successifs et suppliants pour qu’il continue et intensifie les caresses démentielles de sa langue. Celle-ci maintenant se concentre de plus en plus sur la zone de mon clitoris, pour le taquiner dans tous les sens. Pendant ce temps, il a progressivement pénétré mon cocon avec deux de ses doigts qui s’y ébattent à ma plus grande satisfaction, rien qu’à entendre les clapotis et les bruits humides qu’ils provoquent dans mon sexe détrempé.

Il intensifie encore les mouvements de sa langue sur mon clito. Imperceptiblement, je perds le contact avec la réalité pour devenir un animal de sexe. Toute ma personne perçoit chacun des titillements de langue et chaque mouvement des doigts dans mon sexe. Il retourne ses doigts pour s’attaquer à la paroi antérieure de mon sexe, pile sur mon point G. Je deviens complètement folle. Je voudrais prolonger toute la journée ce divin moment où la lame irrésistible de l’orgasme va déferler, me faisant perdre tout contrôle et me faisant alterner cris rauques, paroles obscènes et gémissements intenses.

Quelques secondes de vide, et voilà l’orgasme qui se déchaîne. Chaque parcelle de mon corps se débat dans mes liens de rubans, qui tiennent bon malgré l’intensité de mon plaisir.

Lorsque l’ouragan commence à se calmer, l’homme, dont la bouche a quitté mon sexe détrempé, présente au même endroit le gland gonflé de sa hampe ragaillardie par l’épisode précédent. Mes yeux ne perdent pas la moindre miette de l’introduction lente mais inexorable de cette imposante colonne de chair qui distend mon intimité dans un délice indescriptible. Il faut dire que la position que m’a imposée mon doux bourreau avec ses liens me place aux premières loges pour profiter du spectacle. Et la vision de cette chose énorme pénétrant millimètre par millimètre mon intimité a vite fait de réveiller ma libido, pour autant que celle-ci se soit apaisée. Dès que le membre dur m’a pénétré de la moitié de sa longueur, il fait marche arrière jusqu’à ce que seul le gland me distende les lèvres. Puis il reprend aussitôt sa pénétration en sens inverse, toujours de façon lente et progressive. A chaque aller-retour, un peu plus de ce tison viril disparaît à l’intérieur de mon corps. Et à chaque sortie, je le vois apparaître luisant de mon humidité. Cette douce torture a duré je ne sais combien de temps. Puis le rythme et l’intensité de la pénétration ont accéléré de plus en plus, rythmant ma respiration, et déclenchant mes cris et le naufrage intégral de ma conscience.

Finalement notre accouplement est devenu frénétique. Nous devons ressembler à deux fauves en rut. Une ultime poussée du membre jusqu’à la garde sonne pour nous deux la libération d’un orgasme à l’unisson. J’ai l’impression qu’un déferlement de sperme envahit tout mon corps démantelé dans ses liens.

Toujours intimement emboîtés, il nous faut plusieurs minutes pour reprendre nos esprits. Nous sommes à présent immobiles. Mes yeux, toujours dissimulés derrière mon voile de dentelle détectent à nouveau ce petit éclat particulier dans le regard de l’homme.

Celui-ci rapproche imperceptiblement son visage du mien. Il pose délicatement ses lèvres sur les miennes pour un bisou doux et pudique, presque chaste, un peu incongru vu notre déchaînement récent. Il recule ensuite un peu son visage, et pour la première fois cet après-midi, il articule quelques mots :

— Ma belle Auxane. Mon épouse adorée….Tu m’as emmené au Paradis ! Merci ! Je t’aime !

— Mon cher mari ! Je te souhaite une heureuse St Valentin ! J’ai vu toutes les étoiles de la galaxie ! En moi et dans tes beaux yeux ! Je t’aime à la folie !

Et le plus naturellement du monde, nos bouches se joignent pour un baiser amoureux et profond qui appose la signature finale sur nos ébats.

Nous nous sommes longuement embrassés. Ensuite, mon mari a détaché mes liens de ruban et nous nous sommes tendrement enlacés pour un moment infini de douceur et d’amour.

Après encore quelques baisers, nous avons parlé un peu.

Il faut savoir que notre couple a, depuis que nous nous connaissons, une sorte de rite pour fêter la Saint Valentin. Chaque année, à tour de rôle, chacun de nous organise à l’insu de l’autre une réunion très sexualisée. Cette joute a lieu un jour aléatoire entre début janvier et fin mars, de sorte que celui de nous deux qui n’est pas l’organisateur de l’année ne puisse pas se douter quel jour précis a été choisi par l’autre. Notre objectif principal est de surprendre le partenaire, de lui faire découvrir une nouvelle expérience. Les situations sont à chaque fois aussi exceptionnelles que les souvenirs qui nous en restent. Puisque chacun de nous est très libéré sexuellement, nous n’hésitons pas à mêler d’autres personnes à nos jeux. Qu’ils soient actifs ou passifs. Nous sommes tellement fusionnels tous les deux que nous n’avons aucune appréhension à avoir jusqu’à des relations sexuelles complètes avec d’autres, parce que nous savons que notre amour est tellement fort que rien ni personne n’arriverait à l’ébranler.

L’année passée, mon époux avait organisé notre rencontre dans un bâtiment en chantier : béton nu, grands voiles de plastique, outillage de chantier : le décor était « brut »…. Il avait prévu la froidure de l’hiver et l’absence de fenêtres dans le bâtiment en localisant nos ébats à proximité d’un fût de 200 litres transformé en brasero. Les bûches enflammées qui en débordaient brûlaient allègrement et crépitaient, répandant une intense chaleur aux alentours immédiats. Il avait soudoyé quelques ouvriers pour que ceux-ci soient présents, voyeurs mais passifs. Je me souviens très bien de mon émoi lorsque, debout et appuyée contre une colonne en béton, empalée par derrière par mon homme, j’ai aperçu les quelques silhouettes dans la pénombre, et leurs regards excités par le spectacle. Je ne suis pas de nature exhibitionniste (quoique….), mais la présence de ces témoins passifs a décuplé mes sensations et mes orgasmes. La fin de nos ébats avaient été plus rock ‘n roll qu’aujourd’hui, vu que certains ouvriers, censés rester passifs, avaient sorti leurs sexes de leurs pantalons, et envisageaient vraisemblablement de me faire subir un gang bang en règle. Mon époux toujours aux aguets a vu venir le danger et m’a rapidement emmenée en sécurité, me trimbalant plus nue qu’habillée vers le parking où, sans demander notre reste, nous nous sommes engouffrés dans la voiture et sommes partis. Encore toute émoustillée de l’aventure et de l’adrénaline, j’ai même gratifié mon homme d’une profonde fellation pendant qu’il conduisait la voiture vers chez nous.

Toujours enlacés sur le lit qui venait de connaître nos joyeux ébats, mon homme me dit :

— Mon amour, dis-moi : la geisha et la danseuse orientale, c’étaient des étrangères ?

Sa question m’emplit de fierté : j’avais bien joué mon rôle….

— A ton avis ?

— J’ai des doutes….Leurs morphologies étaient similaires à la tienne. Et en même temps, elles étaient si exotiques Mais certaines habitudes te correspondaient….

— Comme ?

— Comme la position du Duc d’Aumale de la femme arabe….Tu raffoles de cette position…

— Je n’ai pas d’exclusivité sur cette position, mon chéri ! Que dirais-tu si je te disais que ce sont deux copines ?

— Je te demanderais immédiatement leurs numéros de portable, parce que j’ai passé un moment divin avec chacune d’elle….Et que j’en remettrais bien une couche….Peut-être avec les deux en même temps.

— Salaud ! Puisque c’est comme ça, je ne répondrai pas à ta question. Je te laisse avec tes doutes…

Il sourit. Je l’embrasse à nouveau amoureusement, accompagnant ce moment de tendresse de quelques caresses évasives, que mon homme me réciproque avec la même douceur.

— Par contre, pour le dernier scénario, j’ai assez vite été convaincu que c’était toi…

— Ah bon ? Pourquoi ?

— Dès que tu as tombé la cape, tes beaux cheveux, même coiffés différemment, m’ont mis sur la piste….Puis, lorsque tu étais sur le lit, ta position ne cachait rien de ton merveilleux sexe, que je connais….Mmmh, disons « assez bien »…..Et la confirmation est tombée tout de suite après : je reconnaîtrais entre mille son goût délicieux.

— Grand fou !

Quelle belle St Valentin ! Nous ne sommes pas dupes du côté commercial de cette fête, mais nous sommes, tous les deux, complètement addicts à ce que nous offrons à l’autre à cette occasion.

AA 4cc556284e82b3c2fe1ff93a83d8b1b8Tous droits de reproduction, d’adaptation et de traduction, intégrale ou partielle réservés pour tous pays. L’auteure est seule propriétaire des droits et responsable du contenu de ce texte.

Auxane d’Aumale

20 réflexions sur “Les Inconnues Rouges”

  1. Merci encore une fois ma chère et tendre Auxane pour cet époustouflant moment de bonheur que tu m’as offert !
    Cela me touche énormément, j’en suis tout retourné ! Tu es une fantastique écrivaine avec une écriture incroyablement belle ! Merci de tout cœur, je t’embrasse tendrement … 🌹😗💚😗🌹

  2. Poncelet Jules-Henri

    Tu m as ébloui par la recherche de cette envie d être éblouissante et superbe
    Ce déchaînement érotique sublime ta beauté et me rend plein de fougue
    C est de cette jouissance profonde sie je garderai ton souvenir

  3. Trois en une.
    C’est bien joué. Et je pense aussi excitant pour l’un que pour l’autre.
    Se travestir en femme exotique faisait partie, sans doute, de tes fantasmes
    pour séduire et faire l’amour d’une autre façon à ton homme.
    Je ne sais si c’est du vécu, c’est en tous cas bien écrit, et je dois dire que
    ton mari a de la chance d’avoir une femme comme toi avec toutes ces initiatives.
    Le fait que ça recommence tous les ans pour la Saint Valentin doit sûrement,
    enchérir le challenge à chaque fois, et, aussi, à apprendre à connaître l’autre sur le bout des doigts
    pour lui faire plaisir.
    Ton écriture reflète bien les détails et l’excitation souhaitée. Elle est jouissive.
    Merci de ce partage.
    Bise.

    1. Merci Charles. « Les Inconnues Rouges » est un des textes de mon livre « Miel & Piment ». Pour avoi accès aux 15 autres textes, il faut peut-être envisager d’acquérir « Miel & Piment »? Bisous!

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